Les martingales à la roulette
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Les fameuses martingales à la roulette font beaucoup parler d’elles, de même qu’elles font couler énormément d’encre. Mythe ou réalité ? C’est bien difficile à dire avec certitude. Aussi, plutôt que de tergiverser durant des heures, nous avons plutôt décidé de vous faire part des différents types de martingales. Vous pourrez ainsi les essayer et juger par vous-mêmes de leur efficacité. Car, comme le disait si bien le slogan lié il y a quelques années à un célèbre jeu de hasard : « 100 % des gagnants ont tenté leur chance !!! ».
La martingale classique
Ce type de martingale se base sur la chance dite « simple », c'est-à-dire : noir ou rouge, pair ou impair ou bien encore passe ou manque.
Le principe est d’arrêter de miser lorsque l’on gagne et de doubler la mise lorsque l’on perd de manière à toujours terminer avec un gain d’au moins une unité.
Prenons un exemple concret pour illustrer ce qui précède :
1 - Je mise sur pair. Pair sort. Je gagne une unité (c'est-à-dire 2 unités, moins ma mise). Parfait !
2 - Je mise sur pair, mais c’est impair qui sort. Je double alors ma mise. Le jeu continue jusqu’à ce que je gagne. Je serai ainsi toujours remboursé de ma mise et d’une unité supplémentaire en fin de compte.
Mathématiquement, cela fonctionne, c’est indéniable. Cependant, il y a quelques petits bémols à cette méthode.
Par exemple, si la chance ne vous sourit pas rapidement et que vous devez multiplier les parties pour parvenir à votre objectif. Cela peut être long, très long, très très long. Et, pendant tout ce temps-là, il faut avoir le « cash flow » nécessaire pour être capable de poursuivre, car s’arrêter signifie alors une grande perte. Soyez prévoyant !
Les autres types de martingales
1 - Il existe la « grande martingale » où le joueur ne fait pas que doubler la mise, mais il ajoute également à chaque fois une unité. Les gains augmentent donc en fin de parcours, mais comme pour la martingale classique, il faut avoir les moyens d’investir des sommes importantes pour obtenir finalement des gains assez minimes. C’est au joueur et à lui seul de faire le choix de cette martingale ou pas.
2 - Il arrive que l’on voie certaines personnes jouer à la roulette en utilisant la Piquemouche. Ici, les choses se compliquent un peu puisque le joueur ne fait qu’augmenter d’une unité lorsqu’il perd et c’est après trois pertes consécutives que, là, il doit doubler sa mise. Les gains sont ici un peu plus faibles qu’avec les précédentes martingales.
Il existe de nombreux autres types de martingales que vous pourrez découvrir au fur et à mesure de vos sessions de jeu. L‘on parle ainsi de la Whittacker, de la pyramide d’Alembert, de la contre d’Alembert, du Paroli, de la martingale américaine, de la martingale hollandaise ou encore de la Labouchère et de la Labouchère inversée.
Si vous prévoyez de toutes les essayer, prévoyez un budget en conséquence !
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